Karayan, c’est d’abord un retour aux sources par le nom. Karayan, « le fils du Noir » en arménien. Un nom porté loin, par-delà l’Europe, aux portes de l’Orient. Une volonté pour William Karadjian de se rapprocher de ses origines pour écrire des chansons, dans une esthétique souvent sombre mais résolument tournée vers la recherche de la lumière.
À cheval entre chansons pop et musique électronique, Karayan fait la part belle aux machines, jouées et pilotées, ainsi qu’aux instruments dits « organiques » comme les guitares, le piano, le saxophone… et, bien sûr, les voix. C’est par les voix et les textes que les émotions les plus fortes sont partagées avec le public. Un concert alliant donc intimité de l’organique et puissance des machines.

Sur scène, William Karadjian retrouve Juliette Richards au saxophone qu’il avait accompagnée pour son projet White Velvet.
William enseigne également le piano et le chant au CEM – Centre d’Expressions Musicales du Havre.